
Les panneaux photovoltaïques : une solution écologique ?
Bien que les panneaux photovoltaïques soient largement reconnus comme une solution écologique, ils ne font pas l’unanimité. Certains détracteurs pointent du doigt leur fabrication énergivore (notamment en Chine), l’usage de ressources comme le silicium ou l’aluminium, ou encore la gestion de leur fin de vie.
Ces critiques ne sont pas sans fondement, mais elles doivent être mises en perspective : selon de nombreuses études scientifiques, dont les rapports du GIEC, ou de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le solaire reste l’une des sources d’énergie les moins émettrices de CO₂ sur l’ensemble de son cycle de vie. En moyenne, un kWh solaire émet 20 à 60 g de CO₂, contre plus de 800 g pour le charbon.
De plus, les filières de recyclage progressent rapidement, notamment en France.
Aujourd’hui, un consensus scientifique clair affirme que pour limiter le réchauffement climatique, il faut massivement développer les énergies renouvelables, en priorité le solaire et l’éolien. Décryptage !
1. Le bilan carbone sur l’ensemble du cycle de vie
L’une des forces majeures de l’énergie solaire est son bilan carbone très faible sur toute sa durée de vie. La moyenne d’émissions pour un panneau photovoltaïque est estimée à environ 55 g de CO₂eq par kWh produit (source : ADEME). À titre de comparaison, un kWh produit au charbon émet environ 820 g de CO₂, soit plus de 20 fois plus que le solaire.
Chez Soli, nous avons choisi de travailler avec Dualsun, un fabricant français engagé dans une démarche écoresponsable.
Les panneaux solaires de la gamme FLASH (que nous installons) sont certifiés « bas-carbone » par CertiSolis (un organisme indépendant français).
L’empreinte de ses panneaux est comprise entre 28 et 35 g CO₂eq/kWh, soit une réduction d’environ 17 % par rapport à un panneau standard.
CO₂eq/kWh, ça veut dire quoi ?
C’est une unité qui permet de mesurer l’impact climatique de la production d’électricité. Elle prend en compte le CO₂, mais aussi d’autres gaz à effet de serre (comme le méthane ou le protoxyde d’azote), convertis en équivalent CO₂.
Plus ce chiffre est bas, plus la source d’énergie est propre.
DualSun ne se contente pas d’être bas-carbone. Ses panneaux sont également reconnus pour leur durabilité : structure en verre/verre, résistance aux intempéries, garantie linéaire assurant plus de 84 % de rendement au bout de 25 ans, garantie produit de 30 ans. Enfin, la gamme Flash TOPCon a reçu le prestigieux Top Brand PV 2025 décerné par EUPD Research, attestant de sa qualité et de son impact environnemental maîtrisé.
D'ailleurs, Soli a aussi été récompensé par EUPD Research en étant élu Installateur de l’Année 2025.
➡️ En installant des panneaux Dualsun avec Soli, vous optez pour une solution photovoltaïque locale, durable et à très faible impact environnemental.
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2. Durée de vie et recyclage
Les panneaux photovoltaïques ont une durée de vie de 30 à 40 ans (les panneaux que nous installons sont garantis 30 ans). Contrairement à certaines idées reçues, ils ne deviennent pas "inutilisables" après cette période : leur rendement baisse lentement, mais reste exploitable bien au-delà de 20 ans.
Côté recyclage, la filière française est particulièrement avancée. Depuis 2014, l’éco-organisme Soren (anciennement PV Cycle) est chargé de la collecte et du traitement des panneaux usagés. En 2024, ce sont 9 361 tonnes de panneaux qui ont été recyclées en France, représentant un taux de collecte de 77 %.
Les matériaux sont récupérés à plus de 90 % :
- Verre : 80 à 90 %
- Aluminium : 95 %
- Silicium : 85 %
➡️ Ces données confirment que le solaire est non seulement performant et durable, mais aussi parfaitement compatible avec une économie circulaire et responsable.
L’industrie photovoltaïque ne cesse de progresser pour réduire encore son impact environnemental. Des institutions comme l’INES et le CEA travaillent activement à l’industrialisation de l’éco-conception, en développant des panneaux solaires plus performants, plus durables et plus facilement recyclables. Parallèlement, les filières de recyclage se modernisent avec des procédés innovants comme la pyrolyse ou la chimie sèche, permettant de récupérer de façon plus efficace des matériaux précieux tels que le verre, le silicium, le cuivre ou encore l’argent.
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), avec un recyclage optimisé, il serait possible de couvrir jusqu’à 70 % des besoins en matières premières nécessaires à la fabrication de nouveaux panneaux. Une perspective qui ouvre la voie à une véritable économie circulaire dans le secteur solaire, et confirme que cette technologie a encore un immense potentiel de progression écologique.
Sources : L'EnerGeek, ECOinfos, Soren
✅ Récapitulatif des chiffres clés :
3. L’avis des experts
L’avis de la Convention citoyenne pour le climat
Dans le cadre de la Convention citoyenne pour le climat, 150 Français tirés au sort ont travaillé pendant plusieurs mois pour proposer des mesures concrètes en faveur de l’environnement. L’une de leurs recommandations clés concernait le développement massif des énergies renouvelables, et en particulier le solaire. Les citoyens ont souligné l’importance de soutenir les communautés énergétiques locales, comme les coopératives solaires ou l’autoconsommation collective, mais aussi de faciliter l’installation de panneaux photovoltaïques sur les toitures et les parkings. Leur objectif était clair : produire plus localement, réduire les pertes d’énergie, et renforcer l’autonomie énergétique de chaque territoire. Suivre ces recommandations, c’est aller dans le sens d’une transition juste et durable. Le solaire permet à chacun de devenir acteur du changement, tout en réduisant sa dépendance aux énergies fossiles et en agissant pour le climat. C’est une solution simple, propre, et déjà disponible — à nous de la saisir.
L’avis des experts du GIEC
Selon le GIEC, pour limiter le réchauffement à +1,5 °C (ce qui est déjà raté), il est indispensable de réduire de moitié les émissions mondiales de gaz à effet de serre d’ici 2030. Cela implique de sortir rapidement des énergies fossiles (charbon, gaz, pétrole) au profit des énergies renouvelables, comme le solaire. Le dernier rapport souligne que les solutions existent, sont matures, efficaces et abordables, mais que le temps presse : chaque tonne de CO₂ évitée compte. En installant des panneaux photovoltaïques, chacun peut agir concrètement, réduire son empreinte carbone, et participer à l’effort collectif pour préserver notre avenir climatique.
L’avis de l’Agence internationale de l’énergie (AIE)
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) considère l’énergie solaire comme l’un des piliers incontournables de la transition énergétique mondiale. Dans ses scénarios pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, l’AIE affirme que le solaire photovoltaïque devra devenir la première source mondiale d’électricité dès les années 2030. Elle souligne aussi que le coût du solaire a chuté de plus de 80 % en dix ans, en faisant l’une des énergies les plus compétitives, même sans subvention. Pour l’AIE, déployer massivement le solaire est une urgence climatique, mais aussi une opportunité économique, sociale et stratégique pour réduire la dépendance aux énergies fossiles.
Source : IEA

Conclusion
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : un bilan carbone très faible, une durée de vie de plusieurs décennies, des filières de recyclage déjà matures, et un soutien unanime des experts du GIEC et de l’AIE ou encore de la Convention citoyenne.
Installer des panneaux photovoltaïques aujourd’hui, c’est choisir une énergie propre, compétitive et locale pour votre foyer.
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